Le bonheur - Un domaine d’étude en friche
Les psychologues s’intéressent sérieusement depuis quelques années seulement aux sentiments positifs, par opposition aux réactions « négatives » du psychisme, comme la peur ou la colère.
Depuis la fin de la Seconde Guerre mondiale, la médecine a travaillé à soigner les dépressions et les psychoses, avec un succès indéniable ; elle a laissé de côté le bonheur, pourtant d’importance centrale. Le bonheur est plus insaisissable que la peur, la colère, le dégoût, l’agression et ses manifestations extérieures sont plus difficiles à interpréter.
En ce début d'année 2017, formulons le vœux d'apprendre à cultiver le bonheur au quotidien, à repérer les gestes, attitudes et actions de chaque jour qui constitueront les bases d'une psychologie positive.
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