Septembre
est une bien meilleure période que janvier pour prendre des bonnes résolutions.
Prendre
une bonne résolution comporte une part de risque, celle de ne pas la tenir et d’être déçu par soi-même et encore de décevoir ses proches.
Alors le
faire en plein hiver, après les périodes fatigantes de fêtes ; quelle épreuve !
A
l’inverse, avec le début de l’année scolaire, il y a regain d’énergie, c’est le moment idéal de prendre quelques bonnes résolutions (pas trop) et de bien les doser
Les bonnes résolutions « (…) sont nécessaires comme une petite lumière, un phare qui éclaire l’avenir, dépose de l’espoir dans un quotidien qui s’annonce souvent comme répétitif », dit Jacques Salomé. Pour lui, elles correspondent à un désir de s’élever, de s’améliorer, de grandir. À condition cependant de ne pas s’en vouloir si on ne les tient pas. « Les bonnes résolutions tirent vers le haut, vers un idéal du moi, mais elles mettent parfois en situation d’échec, déclenchent de la culpabilité et entament l’estime de soi », nous rappelle Martine Teillac.
Au final, la plus la meilleure (mais de loin pas la simple) résolution : réussir à s’accepter soi-même
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